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- > ****Henri Lopes, « Le chercheur d’Afriques ».
Avec « Le chercheur d’Afriques » Henri Lopez nous offre un roman très réussi sur la difficulté pour un sujet de l’Afrique coloniale française à s’intégrer dans la métropole. C’est le cas d’André qui a quitté son Congo natal pour continuer ses études à Nantes. La nostalgie de sa terre nourricière est si importante que l’auteur est dans l’impossibilité d’empêcher son roman à s’attarder pendant quelques chapitres épars sur cette vie congolaise. La crise identitaire d’André, métisse, est d’autant plus difficile qu’il est à la recherche d’un père, un ancien représentant de la République dans les colonies. Alors que ses quêtes l’épuisent, il découvre une musique qui affole les corps, enivre les esprits, le Jazz. Il s’en grise moins pour oublier que par passion pour ses rythmes endiablés. Une musique qui accompagne le lecteur au rythme des pages ! L’ange protecteur d’André n’est pas uniquement musical… Il est aussi au féminin. Fleur, rencontrée au cours d’un carnaval va très vite occuper son esprit.un roman de Henri Lopez particulièrement riche qui par ses aspects biographiques renforce, consacre une réalité, celle de la vie des étudiants africains en France dans les années cinquante.
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24 avril, 2012 à 20:00
Bonjour,
Je suis étudiante en LCA à l’Université Marien Ngouabi de Brazzaville à la FLSH,j’aimerai savoir comment peut-on faire une étude de verbalisation dans le roman ( La vie et Démie) de Sony Labou Tansi allant de la page 11 à la page 31.
Merci à vous
24 avril, 2012 à 20:00
Bonjour,
Je suis étudiante en LCA à l’Université Marien Ngouabi de Brazzaville à la FLSH,j’aimerai savoir comment peut-on faire une étude de verbalisation dans le roman de Sony Labou Tansi allant de la page 11 à la page 31.
Merci à vous
14 avril, 2012 à 12:37
L oeuvre d’henri Lopes est immense mais l’accès est très difficile en Afrique, particulièrement au Gabon. je travaille sur cet auteur parce qu’il soulève des thèmes qui m’intéressent au plus haut point. je serai vraiment comblé je pouvais avoir facilement les oeuvres de Lopes. cela m’évitera d’etre obligé d en faire la commande à travers « la maison de la presse » au Gabon. Merci
18 juillet, 2011 à 12:58
bonjour je suis élève en classe de première et je veux participer je remercie d’abord lopez pour se beau cadeau la littérature africain je lit pas mal de ses livres donc je garde de très bon souvenir je voudrais qu’ici au cameroun on les intègres comme celle vue au programme je serais vraiment ravi de faire des dissertation avec quelque une. je le découvre aussi avec le pleurer-rire c’est génial je voudrais etre grande écrivain comme henri lopez pour finir que dieu garde monsieur lopez pour qu’il continue à nous écrire de belle oeuvres merci
1 octobre, 2010 à 17:38
Ah oui, génial, j’ai beaucoup aimé! Grand écrivain!
27 juillet, 2010 à 14:28
Vous avez beaucoup de chance d’avoir rencontré un si grand écrivain et pu discuter avec lui de son oeuvre.
» Le pleurer rire » est un ouvrage majeur de la littérature africaine francophone.
Je vous remercie infiniment de visiter mon blog et de participer par vos remarques à le vivifier.
Ferrand Hervé
11 juillet, 2010 à 16:09
j’ai découvert henri lopes à travers le pleurer-rire d’abord mais ensuite pendant une journée réalisée par le cebtre des études africaines à RABAT au MAROC.je l’ai rrencontré directement et j’ai discuté avec lui des points sur la littératuire cangolaise et sub-saharienne.
ce fut une rencontre innoubliable qui m’a poussé à décider de travailler sur mon sujet déjà dit.
la rencontre avec M. henri était une porte réelle qui nous ouvrait mes condisciples et moi les yeux sur un autre monde , celui de l’afrique sub-saharienne.
rochdi
11 juillet, 2010 à 16:02
salut,
je suis étudiante dans un master intitulé: « cultures et littératures francophones et comparées » au Maroc (casablanca).
je prévois de faire une étude comparatiste entre une oeuvre de henri lopes « le pleurer-rire » et celle de sony labou tansi »la vie et demie ».
j’aimerai avoir des informations et des avis concernat le sujet .je suis ouverte à toute discussion .
cordialement
Rochdi
26 octobre, 2009 à 13:44
_!_ Comment verbaliser les brulûres qui se gravent sur nos peaux dès nos pénétrations dans ce système occidental ; avec vos combinaisons littèraires vous avez si bien plongé dans cette Babylonette alors que mes images ne m’offrent qu’un manteau virtuel d’artiste ! Là, vous nagez dans ces vers pour mieux vous connaitre au travers des lueurs que vous donnez au prochain… et vos indices de présence lumineuse pour guider les aveuglés me sont comme un trésor, une nourriture, et je me dois de vous remercier de vive voix si ce lien est actif ___________________ dryland@live.fr _____________________
La possibilité juvénile d’une préface vive de votre plume est un rêve fragile où je vous invite si le parrainage d’une exposition reste dans vos paramètres. Sincères Slt!